Translate

domingo, 1 de diciembre de 2013

Revista de prensa


timesofisrael.com
Mossad, as well as the IDF’s Military Intelligence Directorate, were told to dig up evidence of Iranian intransigence ahead of Obama’s push to pass the deal in Congress, the Sunday Times reported, citing Israeli defense sources.“Everyone has his own view regarding the Geneva agreement,” an Israeli intelligence source was quoted as saying. “But it is clear that if a smoking gun is produced, it will tumble like a house of cards.



Representativess of Iran and the P5+1 nations are to meet in Geneva this week to discuss unresolved aspects of the agreement, which was sealed early last Sunday in the Swiss city after a weekend of intensive negotiations.
A solid majority of Americans supports the deal, according to a recent Reuters poll.
Israeli officials at the weekend denounced Obamafor presiding over the negotiations, which they said granted the Islamic Republic the right to enrich uranium and was rapidly eroding the sanctions regime against Tehran.
That elaborate wall of sanctions, painstakingly constructed over years, is already crumbling and “will collapse within months,” the unnamed officials were quoted as saying by Israel’s Channel 2.
Publicly, Netanyahu has slammed the Geneva deal as a “historic mistake,” said Israel is not bound by it, and vowed to thwart Iran’s nuclear weapons drive alone if necessary.
In a phone conversation with Obama last Sunday, Netanyahu agreed to send a team led by his national security adviser to Washington to try to impact world powers’ upcoming efforts to reach a permanent accord to thwart Iran’s alleged nuclear weapons drive.
Privately, the unnamed officials were quoted as indicating, Jerusalem is feeling a bitter, dismayed and helpless sense of “we told you so.”
Claiming that officials and businesspeople from around the world — notably including China, Turkey, France, Russia and India — are already converging on Iran, ready to resume large-scale oil, banking and all manner of other business dealings as sanctions are eased in the wake the Geneva deal, the officials reportedly said that Israel knew the sanctions pressure would collapse, “but even we didn’t imagine it would happen this fast.”
If Israel does produce evidence that Iran is flouting its deal with the world powers, the agreement could prove a tough sell for Obama in Congress.
The Israeli search for evidence of Iranian subterfuge would focus on three aspects of the Islamic Republic’s nuclear program — secret enrichment sites such as Fordo, which the Iranians hid under a mountain in the holy city of Qom; ballistic missile production; and attempts to design and construct a bomb — the Sunday Times report said, citing unnamed Israeli defense sources.
The Israeli search for evidence of Iranian subterfuge would focus on three aspects of the Islamic Republic’s nuclear program — secret enrichment sites such as Fordo, which the Iranians hid under a mountain in the holy city of Qom; ballistic missile production; and attempts to design and construct a bomb — the Sunday Times report said, citing unnamed Israeli defense sources.
The State Department has acknowledged that Iran is currently enjoying a “window” of time before the six-month interim deal takes effect, during which it is not bound to take any credible steps toward disabling its ability to produce a nuclear weapon. The terms of the deal, which are still being worked out, will only kick in come January.
According to a source in the Obama administration quoted by The New York Times Saturday, “If there’s any evidence of some secret nuclear site the Iranians forgot to [mention], this is over.”

Netanyahou donne l’ordre au Mossad et au renseignement militaire (Aman) de dévoiler les preuves que Téhéran viole quotidiennement les clauses de l’accord signé, selon un reportage britannique.
Image satellite de l’installation nucléaire de Fordo (photo credit : AP/DigitalGlobe)
Décidé à mettre un terme aux efforts de dissimulation du Président Obama en faveur de l’Iran, le Premier Ministre Binyamin Netanyahou a donné l’ordre aux chefs de la communauté du renseignement israélien de ramener toutes les preuves que l’Iran viole les clauses de l’accord intérimaire signé avec la communauté internationale, la semaine dernière, sur son programme nucléaire, selon le journal britannique, le Sunday Times, de dimanche.
Le Mossad, autant que le Directorat des renseignements militaires de Tsahal, ont reçu l’ordre de faire remonter à la surface les preuves de l’intransigeancede l’Iran, grâce à l’aide de l’administration Obama, pressée de parvenir à un accord à tout prix et de le faire valider par le Congrès, a rapporté le Sunday Times, en citant des sources émanant de la défense israélienne.
“Chacun a sa propre façon de concevoir l’accord de Genève », dit une des sources des renseignements, citée. « Mais il est clair que si l’on produit des preuves tangibles de ce qui se passe en réalité, cet accord va s’écroulercomme un château de cartes  ». [Belle preuve d’optimisme].
Les représentants de l’Iran et des nations du groupe P5+1 doivent se rencontrer, de nouveau, à Genève, cette semaine, pour discuter des aspects non-résolus[techniquement] de cet accord, conclu dimanche dernier, dans la ville suisse, après un week-end d’intenses négociations.
[On reste, néanmoins, abasourdi à l’idée que des puissances responsables puissent signer, les yeux fermés, un "accord non-résolu"]
Selon un récent sondage de Reuters, contredit par d’autres depuis, une solide majorité d’Américains soutiendrait cet accord bancal. Les responsables israéliens dénoncent, ce week-end, Obama pour avoir offert à la République Islamique le droit d’enrichir de l’uranium et d’avoir, en si peu de temps, érodé, voire ruiné le système des sanctions contre le régime iranien, qui permettait encore de le tenir en respect.
Ce mur des sanctions péniblement élaboré au fil des ans, tremble, d’ores et déjà, sur ses bases et « va s’effondrer dans les quelques mois à venir », poursuivent ces responsables anonymes, cités par la 2ème chaîne de télévision israélienne.
Publiquement, Netanyahu a fustigé l’accord de Genève comme une “erreur historique”, affichant qu’Israël n’est pas tenu par un tel engagement de dupes, et a fait serment de déjouer, par ses propres moyens, l’envolée nucléaire iranienne, avec le consentement du P5+1, si cela s’avère nécessaire.
Au cours d’une conversation téléphonique avec Obama, dimanche dernier, Netanyahu a accepté d’envoyer à Washington une équipe conduite par son conseiller à la Sécurité (Yossi Cohen) pour tenter d’avoir encore un impact sur les efforts des puissances mondiales qui veulent parvenir à un accord permanent et, ainsi essayer in extremis de déjouer les menées nucléaires de l’Iran, au seuil de l’obtention de la bombe.
En privé, on cite ces responsables anonymes, qui indiquent que Jérusalem se sent très amer, consterné et impuissant, ne trouvant plus à dire au monde, que : « mais nous vous l’avions pourtant bien dit ! ».
Depuis au moins six ou sept ans, Israël s’en est remis à la « communauté internationale », en voulant démontrer que la question de l’Iran nucléaire n’était pas uniquement le problème d’Israël. A force de se départir de sa responsabilité propre, [quitte à ne plus pouvoir reculer devant l’application de la doctrine Begin ? : Israël ne permettra pas une seconde Shoah], Netanyahu a laissé faire Obama, en plein marasme économique et prêt à tout pour piper les dés et sauver sa couronne par un accord illusoire aux forceps. Il n’a plus, aujourd’hui, que les yeux pour pleurer.
On reconnaît, maintenant, que les responsables et hommes d’affaires du monde entier – parmi eux, notamment, la Chine, la Turquie, la France, la Russie et l’Inde – se précipitent déjà en courant ventre à terre en Iran, prêts à reprendre les contrats pétroliers, bancaires et toutes sortes d’autres arrangements économiques, dès le moment où les sanctions se sont allégées, à la suite de l’accord de Genève. Ces responsables israéliens disent qu’Israël savait que la pression des sanctions finiraient par s’effondrer, mais « qu’ils n’imaginaient même pas que cela arriverait aussi vite ».
20 Mai 2011 à Washington, DC (photo credit : Avi Ohayon/Government Press Office/Flash90)
Si Israël apporte réellement les preuves que l’Iran se moque éperdument des conditions de cet accord [mais qui, de bonne foi, ne s’en doute pas ?] avec les grandes puissances, il pourrait s’avérer, pour Obama, que cet accord sera plusdifficile à vendre, devant les membres du Congrès.
Cette quête israélienne des preuves des subterfuges de l’Iran se concentrera sur trois aspects du programme nucléaire iranien : l’enrichissement secret sur des sites comme Fordo, que les Iraniens dissimulent sous les montagnes près de la ville sainte de Qom ; la production de missiles balistiques ; et les essais en matière de conception et de fabrication d’une bombe atomique – rapporte le Sunday Times, citant des sources anonymes de l’appareil de défense israélien.
Le Département d’Etat a reconnu que l’Iran jouit actuellement d’une “fenêtre » d’opportunité et de temps suffisant, avant que l’accord intérimaire de six mois n’entre réellement en pratique, au cours duquel le pays des Mollahs n’estabsolument pas tenu de prendre la moindre mesure crédible, visant à démanteler sa production d’armes nucléaires. Rouhani a même affiché clairement que ce programme ne serait pas démantelé et que seul l’Iran évaluerait ses besoins en matière d’enrichissement d’uranium sans en référer à quiconque ni à aucun papier signé. Les termes de l’accord, qui n’en sont encore qu’au stade de l’élaboration, ne devraient démarrer qu’en janvier.
Selon ce que prétend une source au sein de l’Administration Obama, citée par leNew York Times Samedi, « S’il y a la moindre preuve de l’existence de certains sites secrets que l’Iran aurait oublié de mentionner, c’est Game over (le jeu est terminé) ». Cependant, il y a bien longtemps, maintenant, qu’on sait que ce que dit la Maison Blanche la veille n’a plus la moindre valeur le lendemain.
PAR LA REDACTION DE TIMES OF ISRAEL 1 Decembre 2013, 6:33 am









No hay comentarios:

Publicar un comentario