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martes, 14 de enero de 2014

Ministro de la defensa de Israel


“Si Abu Mazen (Mahmoud Abbas) est toujours vivant c’est grâce à nous. Si un jour on quitte la Judée-Samarie, il est fini.”, a-t-il prévenu, en allusion aux exigences palestiniennes d’un retrait israélien de la Vallée du Jourdain. 
Moshé Yaalon 







 Yaalon, ministro de Defensa estima que:
  Las proposiciones detalladas presentadas por los EEUU "no valen ni el papel en que han sido escritas."
El plan que prevee la entrega del Jordán y su vigilancia electrónica  , les dijo :
 "De qué hablan ustedes ?las cámaras , satélites , pantallas de TV y puestos de mando no podrían dar respuesta a un ataque terrorista  contra objetivos israelís.
¿De qué modo frenarían los satélites la creciente producción de misiles en Naplouse (Cisjordania N) que apuntarían hacia Tel Aviv?No hay paz ni seguridad en ese plan  americano. Solo la presencia israelí persistente permitirá impedir el tiro de roquettes contra el aeropuerto de Ben Gourion  y la ciudad balneario de Netanya. Kerry no puede enseñarme nada sobre el conflicto con los palestinos.Los palestinos no estarán satisfechos hasta que el último refugiado de 1948 no tenga la posibilidad de retornar  a Israel o de quedarse donde está."


Israël est le seul à avoir fait des concessions

Le secrétaire d'Etat est motivé par "un sentiment messianique", selon le ministre israélien de la Défense
Le ministre israélien de la Défense Moshé Ya'alon a affirmé lundi soir que les efforts du secrétaire d'Etat américain John Kerry pour aboutir à un accord antre Israël et les Palestiniens sont inutiles et motivés par "une obsession incompréhensible et une vision messianique".
"La seule chose qui puisse sauver Israël serait que John Kerry reçoive le Prix Nobel et nous laisse tranquille", a déclaré Ya'alon évoquant Kerry qui a effectué 11 visites dans la région en moins d'un an afin de tenter de rappocher les deux parties vers un accord de paix.
Les remarques cinglantes de Ya'alon sur Kerry et les pourparlers ont été faites lors de conversations privées entre Israéliens et Américains rapportées par le quotidien israélien Yediot Aharonot.
Selon le journaliste politique Shimon Schiffer, Ya'alon affirme que de facto il n'y a pas de négociations entre Israéliens et Palestiniens, mais seulement entre Israël et les Etats-Unis d'une part et entre les Palestiniens et les Etats-Unis d'autre part.
Ya'alon, valeureux général de Tsahal et ancien chef d'état-major de l'armée israélienne, estime également que les propositions détaillées, présentées ces dernières semaines aux deux parties afin d'assurer la sécurité d'Israël en cas de la création éventuelle d'un Etat palestinien, "ne valent même pas le papier sur lequel elles ont été écrites".
Ce plan, mis au point par plusieurs dizaines d'experts du département d'Etat américain, prévoit le retrait d'Israël de la Vallée du Jourdain revendiquée par les Palestiniens, et la mise en place d'un système technologique ultra sophistiqué permettant la prévention d'attaques terroristes ennemies.
"De quoi parlez-vous ?" aurait dit Ya'alon aux experts américains. "Comment des capteurs, des satellites, des écrans de télévision et des postes de commandement pourraient-ils fournir une réponse si un commando jihadiste tentait de lancer une attaque terroriste contre des cibles israéliennes ? Comment des satellites traiteront-ils l'industrie croissante de production de missiles à Naplouse ( nord de la Cisjordanie, ndlr) qui seront pointés vers Tel Aviv ?".
"Il n'y a ni paix ni sécurité dans ce plan. Seule une présence israélienne persistante permettra d'empêcher le tir de roquettes sur l'aéroport Ben Gourion et (la ville balnéaire de) Netanya. Kerry ne peut rien m'apprendre sur le conflit avec les Palestiniens, aurait martelé Ya'alon, ajoutant être devenu un adversaire acharné de la délégation américaine impliquée dans les négociations. "Je serai très dur à faire craquer", prévient-il.
Ya'alon a souligné que jusqu"à présent, après 6 mois de négociations, Israël est le seul à avoir fait des concessions, comme la libération de détenus palestiniens coupables d'attentats terroristes. Il a insisté sur le fait que les Palestiniens n'ont cédé sur rien et que le président de l'Autorité palestinienne "ne sera pas satisfait tant que le dernier réfugié de 1948 n'aura pas la possibilité de décider s'il souhaite revenir en Israël ou rester où il est".
Le ministre de la Défense Moshé Ya'alon, membre du parti Likoud de Benyamin Netanyahou, a conclu en affirmant qu'il est temps de "dire aux Américains: cela suffit !".
Tzipi Livni, la ministre de la Justice, en charge des négociations avec les Palestiniens, a vivement réagi mardi matin aux propos de Moshé Ya'alon. "On peut avoir des opinions différentes sans traîner dans la boue et détruire nos relations avec notre meilleur allié, les Etats-Unis", dit Tzipi Livni citée par un tweet du journaliste Barak Ravid.

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