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Vergès qualifié d’ »avocat des tueurs de Juifs » par Klarsfeld, en 1987
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Serge Klarsfeld, qui était l’un des principaux avocats des parties civiles au procès en 1987 de Klaus Barbie, a rappelé vendredi son « hostilité » à Jacques Vergès sans faire plus de commentaire sur le décès de l’avocat de l’ancien chef de la Gestapo de Lyon.
- 6 février 1987 : Me Klarsfel qualifie Me Vergès « d’avocat des tueurs de Juifs ». Me Klarsfeld lui reproche notamment d’insinuer que des responsables de la communaute juive francaise portent des responsabilites dans la deportation d’autres Juifs.
- 6 février 1987 : Me Klarsfel qualifie Me Vergès « d’avocat des tueurs de Juifs ». Me Klarsfeld lui reproche notamment d’insinuer que des responsables de la communaute juive francaise portent des responsabilites dans la deportation d’autres Juifs.
Lire l’article en entier en cliquant sur le lien ci-après
http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/verges-qualifie-d-avocat-des-tueurs-de-juifs-par-klarsfeld-en-1987-520e05183570e91703f4f490
http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/verges-qualifie-d-avocat-des-tueurs-de-juifs-par-klarsfeld-en-1987-520e05183570e91703f4f490
Lise Lesèvre est une résistante française née en 1901.
Le 13 mars 1944, alors qu’elle était en possession de documents importants qu’elle devait remettre à un messager de l’Armée Secrète, elle fut arrêtée par la Gestapo et emmenée à l’École de santé militaire de Lyon, où siégeait la police allemande. Jetée dans une cave pour la nuit, c’est le lendemain qu’elle fit la connaissance de Klaus Barbie. Dans la salle où elle fut emmenée, il y avait une table sur laquelle elle remarqua des instruments étranges. C’est alors que ses tortures commencèrent : Barbie lui mit des menottes à griffes qu’il serrait à chacun de ses silences afin que les griffes pénètrent un peu plus dans sa chair.
Le 13 mars 1944, alors qu’elle était en possession de documents importants qu’elle devait remettre à un messager de l’Armée Secrète, elle fut arrêtée par la Gestapo et emmenée à l’École de santé militaire de Lyon, où siégeait la police allemande. Jetée dans une cave pour la nuit, c’est le lendemain qu’elle fit la connaissance de Klaus Barbie. Dans la salle où elle fut emmenée, il y avait une table sur laquelle elle remarqua des instruments étranges. C’est alors que ses tortures commencèrent : Barbie lui mit des menottes à griffes qu’il serrait à chacun de ses silences afin que les griffes pénètrent un peu plus dans sa chair.
Elle fut ensuite pendue par les poignets et frappée. Pour la faire parler, la Gestapo arrêta son mari et son fils âgé de 16 ans. Elle dut également subir le supplice de la baignoire, puis celui de la table d’étirement. Mais malgré les souffrances endurées pendant ces dix-neuf jours, allant parfois jusqu’à l’évanouissement, elle ne parla jamais.
Elle fut ensuite déportée à Ravensbrück, son mari à Dachau où il mourut du typhus, et son fils de 16 ans fut exécuté. Des trois, elle fut donc la seule à survivre. En 1987, alors âgée de 86 ans, elle a témoigné au procès de Klaus Barbie.
Une rue de Meyzieu, dans la communauté urbaine de Lyon, célèbre son souvenir.
Elle fut ensuite déportée à Ravensbrück, son mari à Dachau où il mourut du typhus, et son fils de 16 ans fut exécuté. Des trois, elle fut donc la seule à survivre. En 1987, alors âgée de 86 ans, elle a témoigné au procès de Klaus Barbie.
Une rue de Meyzieu, dans la communauté urbaine de Lyon, célèbre son souvenir.
Pour lire le témoignage de Lise LESEVRE au procès Barbie cliquer sur le lien ci-après
A quelques jours de l’ouverture du procès de Klaus BARBIE pour crimes contre l’humanité, cette émission composée de nombreux témoignages et images d’archives vise à brosser le portrait de celui qui fut le chef de la Gestapo à Lyon de 1942 à 1944 et vécut après la guerre en Bolivie pendant 32 ans sous l’identité de Klaus ALTMAN.