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sábado, 13 de julio de 2013

pour la francophonie


EL HORROR DE BRETIGNY -sur- ORGE SEGUIDO DE PILLAJE ISLAMICAMENTE LEGAL: explicación




L’horreur de Brétigny-sur-Orge suivie du pillage islamiquement légal: explication

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Parce qu’il est important de rappeler la vérité, n’en déplaise aux bobos qui se cachent les yeux, le pillage des français blessés et morts dans l’accident de train aux alentours de Brétigny-sur-Orge n’a rien d’un pillage de « jeunes » attirés par le matérialisme ou comme s’empressent  les rédacteurs du site « Islam & Info » d’expliquer :
« La racaille capitaliste et prédatrice n’a plus de limite. A l’image des requins de la finance, elle n’hésite pas à piller même quand la victime est mourante voire morte… » espérant stimuler l’anti-américanisme primaire des lecteurs et s’accoquiner le gauchiste errant.
Ce qu’il s’est passé à Brétigny-sur-Orge va servir de modèle permissif à des milliers de profils similaires. Attendez-vous donc à des razzias dans les métros, des descentes de bande de jeunes qui pilleront et assassineront les usagers. L’Islam avance en Occident de cette manière: ce qui fonctionne est reproduit.


L’islam, comme l’explique Alain Wagner c’est  1434 ans d’expansion par la razzia, la prise de territoire et in fine la colonisation puis le métissage.
Rappelons rapidement, que le beau modèle Mahomet était lui même un pillard, un violeur et un voleur.
Ci dessous des faits, rien que des faits rapportés par la littérature islamique, elle même base de la sociologie et de la culture islamique.
Cette idéologie érigée en religion anxiogène et liberticide explique aisément le pillage des cadavres, les tournantes et l’ultra violence qui caractérise les français / néo-français adeptes de la culture islamique. Ils ne jouent que leur partition puisque l’Etat restreint les forces de police craignant les émeutes.

Oui, tous les musulmans ne sont pas adeptes de cette idéologie mais en sont otages, puisque l’apostasie est punie de mort.
Les faits ci-dessous sont tous issus de « AL SÎRA » (traduction de Mahmoud Hussein, agrée par le Conseil Français du Culte Musulman. Edit.Grasset) que nous allons rappeler à la mémoire de nos lecteurs:


1) Bataille de Nakhla
Date : janvier 624
Contexte : Mahomet et ses fidèles sont établis à Médine. La bataille se déroule pendant le mois de rajab, c’est à dire un mois sacré durant lequel le sang ne doit pas être versé. Idéal pour un effet de surprise…
Protagonistes : Huit à douze (selon les sources) musulmans, grimés en pèlerins (la Mekke est un haut lieu de pèlerinage), contre quatre commerçants Mekkois désarmés.
Cause du déclenchement du conflit : Mahomet a donné à son cousin ibn Jahsh, lors du départ de son convoi de Médine pour la Mekke, un pli cacheté à n’ouvrir qu’à deux jours de marche de la Mekke. Le pli ordonne de prendre direction vers Nakhla et d’y attendre le passage d’une caravane afin de dresser une embuscade.
Le conflit : les commerçants Mekkois victimes de la razzia n’avaient aucune chance. Pris par surprise, le lendemain d’un contact amical avec les Mahométans (la ruse est une constante), c’est seulement à l’aube au moment de repartir que les musulmans attaquent. Un Mekkois est tué, un autre réussi à s’enfuir, deux autres sont faits prisonniers et ramenés à Médine avec le butin.
Répercussions socio-politiques : Scandale à Médine, les autres tribus médinoises non musulmanes savent qu’elles peuvent être assimilées aux «  nouveaux médinois », les immigrés accompagnant Mahomet lors de l’hégire, qui ont commis un grave précédent : une attaque gratuite contre une caravane des puissants Qurayshites de la Mekke, en pleine trêve sacrée ! A la Mekke, heureusement, on amalgame pas la bande de Mahomet aux commerçants Médinois…préserver la paix pour ne pas troubler les affaires est prioritaire, on rachète même un des prisonniers. Affaire classée.


2) Bataille de Badr
Date : mars 624
Cause du déclenchement du conflit : L’idée du Prophète est d’attaquer une grosse caravane qui revient de Gaza.
Protagonistes : Mahomet a levé une bande de plus de 300 hommes (selon le biographe officiel Ibn Hishâm), composés des immigrés mekkois (muharijun), les premiers fidèles de Mahomet, plus des ralliés Aws et Khazraj de Médine. Les victimes, commerçants Mekkois sur la route du retour, ne sont pas accompagnés de gardes armés, la route étant réputée sûre.
Le conflit : Les Médinois s’embusquent à proximité du puits de Badr, au sud-ouest de Médine. Les commerçants, alertés sur cette présence suspecte par une source non historiquement identifiée, envoient un cavalier à la Mekke demander du renfort. Abû Jahl, le chef de la cité commerçante, dépêche 900 hommes pour secourir la caravane. Le danger écarté, la caravane une fois en lieu sûr, le gros de la troupe mekkoise retourne à la Mekke, les autres se dirigent vers un point d’eau. Or ce même point d’eau est occupé par les Mahométans…la bataille est inévitable.
Issue du conflit : Les Mahométans s’ils perdent 15 hommes, prennent largement l’avantage de la courte bataille se déroulant entre l’aube et le midi. Les Mekkois subissent des pertes beaucoup plus importantes, de trois à cinq fois plus. 70 prisonniers seront rendus contre rançon, 2 sont exécutés sur le champ.
Répercussions socio-politiques : Mahomet ressort galvanisé d’un conflit où il prétend avoir vu des légions d’anges menées par Gabriel…un des nombreux emprunts chrétiens du Prophète. Il revient à Médine en héros, victorieux et riche, et devient l’homme le plus puissant chez les arabes de Médine. Trois mois après Badr, quelques centaines de Mekkois lancent une opération éclair contre Médine, mais leur faible nombre rendra l’escarmouche symbolique, les Médinois perdront 2 hommes avant que le groupe ne se replit.

3) Expulsion de la tribu juive des Banu-Qaynuquâ’
date : 624
Contexte : Mahomet est le nouvel homme fort de Médine. Il souhaite s’affirmer par la terreur. Il ordonne l’exécution d’une femme poètesse, Asmâ’bint Marwân, puis d’un vieux poète centenaire, donc inoffensif, Abû’Afak. Les deux seront exécutés durant leur sommeil. Quel est l’objectif de Mahomet ? Asmâ’bint Marwan fait partie de la tribu des Aws, qui contrôlent encore la cité, et le vieillard était un protégé de la tribu juive des Banu Nadir. Ces assassinats sont destinés à montrer aux non-musulmans qu’il faut mieux prêter allégeance ou se convertir.
Les Juifs, auxquels Mahomet a emprunté -entre autre- la pratique des ablutions, sont les commerçants et artisans de la cité…autant de raisons pour trouver un prétexte permettant de soumettre une population aux richesses convoitées. La tribu juive des Banu-Qaynuqâ’, composée d’artisans travaillant la forge, la joaillerie et d’autres métiers de manufacture, est à ce titre une cible privilégiée.
Cause du déclenchement du conflit : Sur le marché de la tribu juive des Banu-Qaynuqâ’, un jeune juif soulève la robe d’une jeune musulmane, dévoilant ses fesses. L’honneur des musulmans étant atteint, le jeune est tué. Faute d’arbitrage, les deux communautés vont se battre violemment.
Issue du conflit : Les Qaynuqâ’ se réfugient dans leurs fortins mais ne peuvent supporter le siège mené par les Mahométans. Au bout de quinze jours, ils se rendent. Mahomet décide de tous les tuer, soit 700 hommes et leurs familles. C’est sans compter avec l’intervention d’un certain Ibn Ubayy, jouissant d’un certain poids chez les musulmans, qui obtient de Mahomet un compromis moins sanglant : les juifs doivent quitter Médine sous trois jours laissant la totalité de leurs biens.


4) Une nouvelle caravane mekkoise attaquée
date: 624 
Contexte : Des marchands Mekkois partent pour la Syrie en empruntant une voie passant par le Nadj et l’Irak, à l’est. Aucune escorte armée pour limiter les coûts. Les Médinois, ayant des informateurs à la Mekke, apprennent l’existence du convoi. Mahomet, avide d’un gain facile, confie l’organisation d’une razzia à son affranchi Zayd.
Le conflit : Les musulmans attendent la caravane aux abords d’un point d’eau, à al-Qarada, point de passage obligé. Les Mekkois n’ont aucune chance, ils s’enfuient et laissent 100 000 dirhams aux jihadistes.
Répercussions politiques : Abû Sufyân, un des responsables de la ville de la Mekke, gérée par un conseil nommé mala, prend acte de la déclaration de guerre ouverte. Il s’attèle à lever une armée afin de pacifier Médine. 3000 hommes sont réquisitionnés.


5) La bataille d’Uhûd : la revanche légitime des Mekkois
Date: mars 625
Protagonistes: 3000 Mekkois dressent un siège dans la localité d’Uhud, à quatre kilomètres au nord de Médine. Côté Médinois, les partisans de Mahomet réunissent seulement 1000 hommes, les juifs de Médine ne se sentant pas concernés, et une partie de la population arabe ne s’estime pas tenue de se solidariser avec Mahomet, leurs accords se limitant à un engagement en cas d’assaut sur la ville seulement. Or, les Mekkois adoptent une stratégie attentiste et ce sont les Mahométans qui décident de lancer l’assaut.
Le conflit: les médinois se laissent attirer en plaine et sont en butte à l’importante cavalerie Mekkoise, dirigée par Khâlid Ibn al Walîd (futur rallié qui servira Mahomet sous le nom de « Sabre de l’islam »). Le rapport est inégal. Les Médinois perdent 70 hommes, Mahomet manque d’être tué et son oncle, Abou Hamza n’a pas cette chance.
Alors qu’il avait là une occasion d’en finir définitivement avec les musulmans, en « terminant le travail » Abû Sûfyan, satisfait de sa victoire, décide ne ne pas aller soumettre Médine, ne fait pas de prisonniers, et laisse en fuite Mahomet.
Conséquences socio-politiques: La perte de prestige de Mahomet est un désastre. Point d’avantage n’en faut pour compromettre les alliances avec des tribus juives dubitatives, et la partie arabe de Médine non ralliée. D’ailleurs cette dernière, par la voix de son représentant Ibn Ubayy, émet de sérieuses critiques quant à celui qui se disait porté à Badr par une main divine…alors que son échec cuisant à Uhud montre que son soutien surnaturel n’est pas si évident.
Mahomet trouve cependant un soutien de poids qui va jusqu’à justifier la défaite: le Coran, qui dans sa Sourate 3, explique: « Ce qui vous a atteints, à la journée où les deux troupes se sont rencontrées, s’est produit avec la permission d’Allah, afin que celui-ci reconnaisse les croyants et qu’il reconnaisse ceux qui ont été hypocrites…(3.159-160)
Ne vous abandonnez pas, ne vous attristez pas, alors que vous êtes les plus hauts, si vous êtes croyants…(3.134.) Allah vous a fait reculer devant les Infidèles pour vous éprouver…(3.146) 
Ainsi, l’honneur est sauf, cette défaite n’est qu’une épreuve-test voulue par Dieu pour reconnaitre les vrais fidèles! Il suffisait d’ y penser.


6) Expulsion d’une deuxième tribu juive: les Banû Nadir
Date: 625 
Contexte: l’épisode se situe juste après la défaite d’Uhud (pour lesquels les Banû Nadir n’ont aucune responsabilité). A ce moment, des émissaires musulmans en charge de rallier des tribus bédouines sont violemment pris à partie par l’une d’elle, et perdent beaucoup d’hommes. Un des survivants musulmans, sur la route du retour, tue deux hommes qu’il prend pour des membres de la tribu bédouine en question. Or, ces deux hommes appartiennent à une autre, et le prix du sang exige réparation. Toute la cité médinoise est solidaire de l’erreur, et même les Banû Nadîr, alors qu’ils n’ont aucune responsabilités, acceptent par la voix de leur chef de participer à la collecte d’argent.
Cause de déclenchement du conflit: Alors que le conseil des Banû Nadir est réuni pour délibérer des affaires courantes et donc également de la collecte de réparation, Mahomet accompagné de ses Compagnons, restés dehors faute d’autorisation, prétend entendre Allah lui révéler le contenu des discussions. Les juifs seraient entrain de comploter contre lui. Mahomet tient alors un prétexte pour chasser cette tribu d’agriculteurs, les terres reviendront aux immigrés mekkois (muharijun), fidèles de la première heure. 
Conséquences socio-politiques: Mahomet renforce un peu plus son hégémonie sur Médine mais attise le ressentiment chez les autochtones dû à son favoritisme envers la répartition des biens juifs aux muharijun.



7) La bataille du fossé: l’ Austerlitz de Mahomet 
Date: mars 627 
Contexte: Mahomet sème toujours la zizanie dans le commerce Mekkois. Lors du grand marché de Badr d’avril 626, il parvient à en interdire l’accès aux commerçants Mekkois. Exaspéré, désireux de sécuriser les routes marchandes, Abû Sûfyan lance la plus importante offensive contre Médine jamais décidée.
Protagonistes: Les Mekkois, forts des alliances passées avec les Gathafân et les Juifs de Khaybar, réunissent 10 000 hommes, avec une logistique de 600 chameaux. De son côté, Mahomet réuni 3000 hommes environ. 
Le conflit: Les Mekkois dressent un siège aux abords de Médine, mais l’importance du contingent pose des difficultés en matière de ravitaillement, et le milieu est désertique. De plus l’utilisation de la cavalerie est inopérante à cause de la surface basaltique du terrain. De leur côté, les Médinois usent d’un stratagème: le creusement d’un fossé aux abords de l’oasis. Le chantier s’étend sur trois jours, et il faut noter la participation de la dernière tribu juive des Banû Qurayza…qui ne seront quelques jours plus tard pas vraiment récompensés. Les positions se campent et les semaines passent sans que l’une ou l’autre des parties engagent l’assaut. Le temps se fait long côté Mekkois, l’épuisement décourage certains qui retournent dans la cité de la Kaaba. Seules des escarmouches ça et là rythment le quotidien, et les Mekkois lèvent le camp après n’avoir perdu qu’une vingtaine d’homme.
Succès pour Mahomet. 
Conséquences socio-politiques: Galvanisé par ce succès, Mahomet est le chef incontesté de Médine. Il va s’efforcer dorénavant de mettre au pas toute la cité, et ne va à cette fin guère faire preuve de magnanimité.



8) Médine : la dernière tribu juive victime d’un pogrom.
Date: mars 627 
Cause de déclenchement du conflit: Selon la biographie officielle (la Sîra) rapportée par Ibn Ishâm, c’est une fois de plus une injonction divine qui a décidé du sort des Banû Qurayzah, dernière tribu juive restante après l’expulsion des Kaynuquâ’ et des Nadir. 
« Vers midi, l’archange Gabriel [...] dit à l’Envoyé d’Allah: « As-tu déposé les armes? » L’envoyé d’Allah lui répondit « Oui ». Gabriel dit : « Mais les anges n’ont pas encore déposés les armes. Je reviens maintenant après avoir poursuivi ces gens (Quraysh Mekkois et Ghatafân). Dieu-Très Haut- t’ordonne, ô Muhammad de marcher contre Banû Qurayzah, moi je me dirige vers eux et je secouerai leurs fortins » 
Le conflit: Le siège dressé contre les fortins juifs dure 25 jours. Conciliants, les juifs réclament un émissaire musulman pour parlementer et négocier une reddition. L’émissaire en question leur promet la mort. A la différences des autres tribus juives contraintes à l’exil, le sort des Qurayzah est moins enviable: les femmes et les enfants sont vendus comme esclaves, tous les hommes -entre 600 et 900- sont décapités devant la foule. Cette pratique barbare n’était pourtant pas dans les habitudes arabes. 
Conséquences socio-politiques: Mahomet est devenu le maitre absolu de Médine. Il va dorénavant s’atteler à échafauder un projet d’expansion hors de Médine: le germe du concept impérial, dont la satiété territoriale ne connait de frontières, est en marche. Des points stratégiques sur les axes commerciaux sont à prendre : au nord, Khaybar, refuge des juifs de la région, qui se situe à 200kilmsde Médine, est un passage obligé pour se diriger vers Tabuk et plus encore vers les Ghassanides. Au sud, la Mekke, évidemment.
   L’effervescence expansionniste est en marche: Ali conduit une razzia dans le nord contre une tribu arabe suceptible de s’allier à Khaybar. Sans coup férir, le jeune homme s’empare de 500 chameaux et de 2000 tête de bétail. L’autre fils adoptif de Mahomet, Zayd, attaque, avec 170 hommes, une caravane mekkoise. Une grosse expédition-700 hommes- est dirigée, toujours vers le nord, contre Dûmat al-Jandal. La tribu chrétienne des Kalb, qui domine la ville, se soumet sans opposition et son chef donne sa fille en mariage à un chef médinois proche de Mahomet, ibn’Auf.


9) La prise de Khaybar
Date: mars 628
Contexte: La prise de Khaybar se déroule juste après un accord inattendu entre Mahomet et l’émissaire du Conseil « Mala’) gouvernant la Mecque (février 628). Un songe révélant à Mahomet son entrée dans Médine muni des clés de la ville, va le pousser à préparer un pèlerinage dans la cité sainte. Les Médinois, méfiants quant aux intentions pacifiques de leur meilleur ennemi tentent l’apaisement par la conclusion du traité de Hudayybya, assez avantageux pour les musulmans: les mekkois pourront se rendre moyennant autorisation préalable à Médine, alors que les médinois séjourneront librement à la Mecque.L’année suivant le traité, les médinois pourront se rendre à la Mekke et dans l’enceinte de la Kaaba y accomplir le pélerinage. Surtout, le traité prévoit une trêve de dix ans entre les deux villes rivales.

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