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sábado, 13 de julio de 2013

Los buitres asaltaban a los muertos del trén descarrilado.

  Los hombres son solamente buenos de una manera y malos de muchas.
 Étic a Nicómaco. Libro 2º ,c.I



      Siempre que desciende la alutra espiritual de una nación, por las causas que sean, la gentuza aumenta. La gentuza escala puestos y avanza posiciones para dar mayor amplitud a sus ruindades  . La situación les favorece, las sombras les amparan.
   Y crecen pacientes, savoir attendre c´est le grand moyen de pouvoir , que nos dijo De Maistre.  Y nos van doblegando   y conquistndo , sometiendo, a su pardo mundo de envidiosos , vagos , criminales, viciosos e hipócritas.
 Buscan dominar a todos, al Mundo. Someternos al Mal y así robarnos.
           El DDT contra esta peste de ratas es nuestra Unidad. La Unidad les hará correr a sus fétidos agujeros.


     by as 1-9-4-4






AUDIO. Brétigny : le Samu caillassé

Publié le 13.07.2013, 00h46 | Mise à jour : 09h16
Des heurts ont eu lieu autour de la gare de Brétigny-sur-Orge, entre les forces de l'ordre et des curieux qui tentaient de passer le périimètre de sécurité mis en place après l'accident. Des membres du Samu ont aussi étét caillassés, des victimes dépouillées.

Des heurts ont eu lieu autour de la gare de Brétigny-sur-Orge, entre les forces de l'ordre et des curieux qui tentaient de passer le périimètre de sécurité mis en place après l'accident. Des membres du Samu ont aussi étét caillassés, des victimes dépouillées. | LP/PHILIPPE LAVIEILLE

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Ce samedi matin, le ministre des Transports minimise les incidents qui se sont produits une heure après la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne).  Frédéric Cuvillier indique ne pas avoir connaissance «de victimes dépouillées» par des délinquants.

Vendredi vers 18h30, alors que les secours se déployaient en masse autour de la gare, près de 200 curieux avaient pris place autour du périmètre de sécurité établi par les forces de l’ordre. Une mesure de précaution destinée notamment à permettre aux huit hélicoptères des secours de se poser.

Rapidement, une cinquantaine de jeunes gens s’en sont pris à la police, tentant de forcer le barrage mis en place (écouter le témoignage de notre journaliste sur place). Des compagnies républicaines de sécurité (CRS) sont alors intervenues, pour repousser d’une centaine de mètres le périmètre de sécurité. C’est à ce moment-là que des heurts ont eu lieu avec une partie des jeunes, dont certains ont commencé à caillasser plusieurs véhicules du Samu qui n’avaient pas pu prendre place à l’intérieur du périmètre.
 


Un secouriste s’est ainsi également fait voler son téléphone portable. Certaines sources policières affirment que des victimes de l’accident et une journaliste ont été elles aussi, dépouillées de leurs sacs à main ou téléphones.  Les policiers ont procédé à six interpellations, dont deux se sont soldées par une garde à vue.  Vers 19h30, repoussés par les CRS, curieux et agitateurs ont déserté la zone.

Interrogé ce samedi matin notamment sur iTélé, le ministre des Transports évoque des «actes isolés», «une personne interpellée», «une tentative de de portable» au préjudice d'un secouriste, de «pompiers qui, par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude». Mais de «véritables actes commis en bande, non», affirme-t-il.

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Brétigny : les secours ont été caillassés

Par Thomas Morel et Guillaume Biet
Publié le 12 juillet 2013 à 22h20 Mis à jour le 13 juillet 2013 à 01h52

Les pillards tentaient de voler les téléphones portables des victimes de l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge
Les pillards tentaient de voler les téléphones portables des victimes de l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge © REUTERS
Pompiers et policiers qui tentaient de porter secours aux victimes du déraillement ont fait face à des jets de pierres.
L'info. C'est une scène incroyable à laquelle ont assisté les policiers à leur arrivée à Brétigny-sur-Orge. Alors qu'ils tentaient de porter secours aux victimes du déraillement du Paris-Limoges, dans lequel au moins six personnes ont trouvé la mort, ils ont dû faire face à des jets de pierres de la part d'un petit groupe de jeunes. A l'origine de l'agression, des pillards, venus voler sur les corps des morts et des blessés ce qu'ils pouvaient emporter.
>> Retrouvez ici les dernières infos sur la catastrophe ferroviaire
"Ils semblent porter secours aux victimes". Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance, raconte la scène au micro d'Europe 1 : "A 17 heures 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres", s'insurge la syndicaliste.
>> A LIRE AUSSI : Brétigny : le scénario de l'accident
"Inqualifiable, monstrueux". Les policiers décident alors de les chasser, mais les jeunes n'entendent pas se laisser faire. Ils ripostent aux forces de l'ordre en leur jetant des pierres, ainsi qu'aux pompiers en cours d'intervention. Pour s'en débarrasser, les secours sont contraints de demander des renforts. "C'est inqualifiable, monstrueux", ajoute encore Nathalie Michel, écœurée.
Peu de chances d'être retrouvés. Au moins un suspect a été arrêté pour vol, mais les autres ont peu de chances d'être retrouvés : une partie des caméras de la gare était hors-service après l'accident, et les policiers présents sur place travaillaient surtout à secourir les victimes.

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