Debe de pedirse a Obama que libere a Pollard durante su visita a Israel .Aunque sea un islamófilo.
Son ya 28 años los que lleva encarcelado Jonathan Pollard en los Estados Unidos.
Los dirigentes políticos americanos han dicho,muchas veces,que un gesto en favor de Pollard era "imposible" dada la "gravedad" de los hechos que cometió. Son palabras sin fundamento. Se revelan aún menos verdaderas tras la divulgación,el pasado mes de diciembre, de documentos de la CIA concernientes a la investigación e interrogatorios de Jonathan Pollard que muestran la menor importancia de los documentos transmitidos por Pollard ,mucho menor que lo afirmado durante años ,revelan que la transmisión de los mismos nunca puso en peligro la defensa y seguridad de los USA ,muestran-en contra de lo afirmado en varias ocasiones-que Pollard cooperó totalmente con las autoridades tras su detención.
Mantener a Jonathan Pollard en la cárcel se revela ,en estas condiciones, como un castigo cruel,no habitual y arbitrario,como un castigo que viola los principios mismos sobre los cuales se basan los USA. Como ha dicho,muy bien,su esposa en el JERUSALEN POST hace pocos días,no lo condenó Barak Obama ,pero es bajo Barak Obama que se han hecho públicos todos esos documentos de los que les he hablado.Debe de adoptar él,en función de los citados documentos ,una decisión.
Esperar del presidente de USA más hostil hacia Israel desde que Israel (re)nació un gesto de gracia,de clemencia y de generosidad es ,no hay duda,esperar demasiado. Pero,ya que Obama se presenta como un "amigo" de Israel,sería muy juicioso pedirle nos diese una prueba de lo que dice: un "amigo",lo escribo entre comillas, haría tal cosa. Un "amigo" de Israel no se comportaría de un modo hipócrita pero ,creo yo, es lo que hará Obama,que es un experto en materia de hipocresía.
No debe de cesar la petición de liberar a Pollard. Muchos dirigentes americanos,hoy en día ,la piden: entre ellos McCain,candidato republicano a la presidencia el 2008,Mitt Romney candidato republicano a la presidencia el 2012, Henry Kissinger, James Woolsey antiguo director de la CIA...
Una hipótesis ,muchas veces repetida, es que la no liberación de Pollard procede de la voluntad de los USA de no enojar a sus amigos árabes. La hipótesis es más cierta ahora ,porque Barak Obama es el presidente más islamófilo que haya entrado en la Casa Blanca. Pero esto no es razón para no exigir que Pollard sea liberado...
Guy Milliere.
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Guy Millière (né en 1950 à Marseille) est un universitaire, géopolitologue et écrivain français. Il adopte dans ses écrits des positions atlantistes, libérales, néoconservatrices et sionistes.[modifier]
ResponderEliminarGuy Millière a été professeur invité (visiting Professor) à l'université d'État de Californie à Long Beach. Il enseigne aussi à l’université Paris-81 où il est rattaché à l’UFR « culture et communication »2.
Guy Millière appartient à différents think-tanks néo-conservateurs et libéraux ou pro-israéliens, tel le Gatestone Institute3,4. Il est membre du comité de rédaction du site web néo-conservateur et pro-israélien Dreuz.info5. Il est éditorialiste à la Metula News Agency et à Israël Magazine. Il publie une chronique dans le journal Les 4 Vérités. Il est traducteur et adaptateur en langue française du site web de Daniel Pipes. Il a participé aux travaux de l’American Enterprise Institute et de l’Hoover Institution. Il a été conférencier pour la Banque de France, membre du comité de rédaction d’Outre-terre, revue de géopolitique dirigée par Michel Korinman. Il a participé à l’édition d’ouvrages libéraux contemporains comme La constitution de la liberté de Friedrich Hayek en 1994 dans la collection Liberalia, puis dans la collection « Au service de la liberté » qu’il a créée aux éditions Cheminements en 2007. Il a également été rédacteur en chef de la revue éponyme Liberalia de 1989 à 1992. Il a été vice-président de l’Institut de l’Europe libre ainsi que Président et membre du conseil scientifique de l’Institut Turgot. Il fait partie du comité directeur de l’Alliance France-Israël présidée par Gilles-William Goldnadel.
Guy Millière est, avec Yves Roucaute, l’un des universitaires français qui ont soutenu George Bush aux élections présidentielles américaines de 2000 et 2004, et avait, dans l’un de ses ouvrages, prévu sa réélection en 2004. Il avait également publié des articles souhaitant l’élection du candidat du parti républicain en 2008, et lui avait apporté son soutien6. Il a soutenu l’invasion de l’Irak en 2003, en reprenant l’argumentaire de la présence d’armes de destruction massive dans ce pays et du caractère inhumain et dangereux de la dictature de Saddam Hussein. Il reprend depuis plusieurs années les thèses néo-conservatrices .
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